Entre Tom Hardy et Venom, c’est l’amour vache et pas qu’un peu. Ça tourne mal entre le journaliste paumé et l’extraterrestre friand de chair fraîche qui occupe son corps dans Venom Let There Be Carnage (« Que le massacre commence » en français).
Andy Serkis a pris la place de Ruben Fleischer pour diriger cet opus. Dès les premières images de ce deuxième volet des aventures du vénéneux héros Marvel, le film a de quoi surprendre les fans et pas qu’un peu. 20 Minutes explique pourquoi.
Des personnages extrêmes
Non seulement l’alien et son hôte semblent infichus de cohabiter mais un nouvel E.T. au doux surnom de Carnage a pris possession d’un fou furieux campé par Woody Harrelson. Dire que ce dernier a les crocs, de l’appétit pour la destruction et de la haine pour Venom est un euphémisme d’un beau gabarit.
Ça tourne à la sitcom
Les rapports entre Venom et son hôte humain donnent lieu à des dialogues entre sitcom et telenovela. On dirait davantage un vieux couple grincheux que deux superhéros prêts à en découdre avec une entité maléfique. C’est rigolo par moments, mais un peu malaisant le reste du temps.
C’est la poilade
Ça gloussait beaucoup dans la salle de l’avant-première. Les acteurs en font des caisses comme les plus grimaciers des acteurs du cinéma muet. Tom Hardy et Woody Harrelson, en roue libre, font nettement plus rigoler que flipper. On aime ou on n’aime pas, mais on espère que c’est fait exprès !
Deux films en un
Michelle Williams et Naomie Harris, pourtant parties prenantes de l’action, semblent parfois déconnectées, comme si elles participaient à un autre film ou se demandaient « qu’est-ce que je fais là ? » Une question récurrente que le public partage plus souvent qu’à son tour.
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